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  ∆ fuck me like you hate me.

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V. Pi-Briséïs E. Dagmare

V. Pi-Briséïs E. Dagmare
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MessageSujet: ∆ fuck me like you hate me.    ∆ fuck me like you hate me. EmptyLun 27 Aoû - 23:10



✖PIROMANO✖
« Jeu damné. »



FAIS CHIER. Tu claques la porte de ta chambre, sèchement. Tu commences à faire les cent pas dans ton immense chambre à coucher. Tu es saisie par une folle envie de tout fracasser mais tu essaies de résister. Tu t'approches de la fenêtre en prenant soin de t'éloigner de toute chose cassable. Ta mère pourrait te tuer pour avoir balancé une veilleuse à deux milles dollars. Tu t'en fous certes mais ta tête te fait trop mal pour faire face à une énième dispute. Oui, ta tête va cramer à force de réfléchir à une vitesse inhumaine. Tu n'y es pas habituée. D'habitude, tu agis sans perdre de temps. Impulsive, tu es telle une furie quand il s'agit d'actions imprévues. Mais là, c'est différent. Oui, en effet. Là il s'agit de lui. Il s'agit de cet idiot qui a fait irruption dans ta vie d'un coup sans t'en demander la permission. Qui a osé y foutre le bordel sans même s'excuser. Il t'agace; tu le détestes. Pourtant, tu penses à lui. Oh oui, tu le fais maintenant depuis trois ans. Tu bouges la tête brusquement voulant chasser ces idées stupides et abaissantes de ta tête. Toi ? L'héritière des Dagmare ? La fille la plus convoitée de Las Vegas pensant à un... idiot ? Hors de question. Tu soupires et quitte ta chambre faisant voler la porte à ton passage. Tes parents sont là. Tu entends leurs pas approcher voulant t'intercepter à mesure que tu avales les marches des escaliers, rapidement. Tu n'accélères pas le pas. Tu t'attardes, même pour les embêter ou peut être les défier. Tu passes devant ta mère qui essaie de te rattraper mais en vain. Tu es bien trop rapide et déterminée pour cette vieille femme bourgeoise de quarante ans. Une fois bien installée dans ta voiture rouge, tu quittes la cité. Cela te prend des heures pour trouver ce foutu motel dans le désert de Vegas. Tu es dégoûtée par cet endroit et encore plus la chambre minable de Romano. Tu ne prends pas la peine de demander au réceptionniste de t'aider. Il te dégoûte, lui aussi. Il te dévisage avec tes talents hauts et ta mini robe rouge. Il se dit que c'est sûrement une erreur que tu sois ici mais tu t'en fous. Tu l'ignores et continues ton chemin en te dirigeant vers la troisième chambre. A fur et à mesure que tu t'approches, les battements de ton coeur accélèrent et cela t'agace à nouveau. Tu t'arrêtes et te dis que c'est sûrement à cause de cette odeur pourrie dans l'air. Tu ne frappes pas. Tu saisis la poignée et ouvres la porte directement. Une chambre à dix dollars. Classe. Tu souris. Ton sourire moqueur et narquois dessiné sur tes belles lèvres d'emmerdeuse. Tu croises les bras et le regarde.
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Romano Do Vale

Romano Do Vale
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MessageSujet: Re: ∆ fuck me like you hate me.    ∆ fuck me like you hate me. EmptyMar 28 Aoû - 0:26



w/ PI-BRISÉÏS
Ce soir, tu t'ennuies ferme. Tu serais bien sorti pour jouer une énième partie de Poker mais tu ne peux pas. Ou plutôt ne veux pas. D'une certaine manière, les deux excuses sont bonnes. Tu n'as pas la foi de faire des kilomètres à pieds pour pouvoir te poster à une table, autour de joueurs que tu rêves de dépouiller. Tu n'as pas non plus de quoi dépenser, ton compte bancaire au rouge. Alors, c'est au sein de cette misérable chambre de motel que tu demeures. Plus assez de blé pour assurer les loyers de ton ancien appartement. Le proprio avait changé les serrures, ne te laissant pas d'autre choix que de partir. Tu n'allais pas lui verser ce que tu lui dois. C'est hors de question ! Qu'il crève, il gagne déjà assez de sous pour vivre aisément. Ce dernier ne se doutait pas de la difficulté dans laquelle il t'a foutu, sans remords de te savoir dormir sous les ponts. Quoi que sa pitié, tu t'en passeras. Assis en face de la fenêtre, tu te grilles la dernière cigarette que tu viens de rouler de tes doigts experts. Interdit de fumer,c'est ce que l'écriteau accroché au mur te rappelles mais tu n'en as rien à foutre.

Il fait nuit noire. Tu n'as pas sommeil et tandis que ta cigarette se consume entre tes lèvres, tu penses. Tu penses au succès des premières années, à la réputation que tu t'es fait si vite mais qui se dégrade jour après jour, à cause des problèmes que tu tâches aussi bien que tu le peux, de camoufler. Las Vegas a beau être géant, les choses se répandent vite. Tu n'as jamais autant menti de ta vie depuis deux ans. La supercherie c'est ton nouveau fort. Tu mens pour te protéger mais surtout pour prendre soin des personnes importantes pour toi. Tu penses entre autre, à Polina et tu es d'un seul coup, désappointé. Tu lui fais voir bon nombres de misères à ta meilleure amie. Elle t'as toujours soutenu dans les moments difficiles. Tu sais bien qu'elle sera toujours là mais de ce fait, à tes yeux – Polina se met en danger. Tu ne peux pas accepter cette réalité.

Tu t'humectes les lèvres, car elles sont sèches. Tu écrases ton mégot contre le rebord de la fenêtre puis tu le jettes dehors. Dans le couloir, tu entends que ça s'agite, que quelqu'un est sur le point de finir de monter l'escalier. Tu devines que c'est une femme – au bruit de ses talons. Cependant, tu n'y prêtes pas attention et continues de fixer un réverbère en bordure de la grande route. Il n'y a pas un chat. Tu es paumé aux portes du désert. Celle de ta chambre s'ouvre d'un seul coup et tu sursautes. Tu fais volte face, la peur au ventre de te retrouver nez à nez avec un connard qui veut ta peau. Beaucoup de personnes te veux du mal, tu le sais.

Devant toi, se trouve Pi-Briséïs. Sauf que tu te contentes de Pi pour parler d'elle. Sinon c'est trop long et plus dure à retenir.  « Une chambre à dix dollars. Classe. » Cette pouffiasse sourit. Elle est fière de sa vanne. Si c'était une autre fille, tu l'aurais sans doute envoyer se faire foutre plus cruellement. Mais c'était Pi. Cette fille que tu as rencontré trois ans plus tôt, détrôné avec brio. Elle te haïs autant que tu la méprises. Mais au fond, tu l'aimes bien cette blonde. Tu te contentes de sourire. Tu la provoques du regard.  « C'est pas assez cher pour toi ? Tu demandes combien généralement pour une pipe ? Et l'extra ? » Autrement dit, la totale. Tu t'approches et tu dessines du regard les courbes de son corps. Tu la regardes un moment dans les yeux puis tu t'éloignes, recreusant un espace important entre vos deux visages et vos deux corps. Tu l'avais toisé, maintenant tu lui tournes le dos. « Qu'est ce que tu veux ? » Tu restes là, à fixer cette lampe de chevet allumée qui vous baigne d'une lumière tamisée. Tu sais qu'elle en veut pour ton argent, qu'elle désigne comme sien, d'une certaine façon. Cela te fait rire en y repensant mais tu le fais silencieusement. Pi t'en voudras toujours à mort de lui avoir volé le succès et la fortune, bien qu'elle soit déjà riche. Tu te retournes pour la regarder à nouveau.

c'est la première fois que je teste de rp avec la deuxième personne du singulier, j'aime pas mal :)


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V. Pi-Briséïs E. Dagmare

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MessageSujet: Re: ∆ fuck me like you hate me.    ∆ fuck me like you hate me. EmptyMar 28 Aoû - 17:35

Tu es fatiguée, épuisée d'avoir réfléchi toute la soirée. A vrai dire, tu l'es depuis maintenant trois longues années. Depuis que cet idiot a fait irruption dans ton existence. Tu sens le temps passer rapidement à te quereller sans cesse avec lui et le détester de toutes tes forces. Qu'il disparaisse une bonne fois pour toute. Qu'il crève. Tu en as marre de lui; de toute la force requise pour lui pourrir la vie. Pourtant, tu t'amuses à le faire aux autres. Les martyriser te réjouit; te rend encore plus forte. Mais là c'est différent; c'est lui. Ton coeur te martèle la poitrine et tu suffoques. Tu aspires deux bonnes bouffées d'air et pousses la porte. Il est là, plongé dans ses pensées comme toujours. Tu ne perds pas de temps. Telle une bête ayant aperçu sa proie; tu l'attaques. Tu l'emmerdes avec ta vanne et ton sourire habituel. C'est pas assez cher pour toi ? Tu demandes combien généralement pour une pipe ? Et l'extra ? Oh, le connard. Sa réplique ne te surprend pas. Tu t'es habituée à ce genre de conversations. Avec lui, ça part toujours en cacahuète. Il s'en fout de ton argent; de ta classe sociale; de ton poids dans la société. Il a rapidement deviné ton point faible et l'a exploité abusivement. Tu sens un afflux de colère monter en toi et fermes les yeux instinctivement. Tu résistes. Non, tu refuses qu'il voie ça. Tu refuses de lui montrer que cela te perturbe. Laisse tomber. On n'est pas du même calibre. Tu marques une pause pour le dévisager. Tu prends ton temps avant d'ajouter lentement: Je suis trop chère pour toi. Tu laisse durer le silence avant de le rompre en soupirant. Tu balayes rapidement la chambre du regard accompagnant ceci par un léger haussement de sourcils. Il te demande ce que tu veux. Tu n'aimes pas quand c'est lui qui pose les questions. Tu détournes le regard en inspectant à nouveau la chambre. Tu ne réponds pas tout de suite. Tu t'affales sur le lit. Pourriture. Il n'y a même pas de ressort; foutue lit à deux dollars. Tu ne te plains pas évitant de lui offrir une seconde occasion de te vanner. Ce serait trop facile. Tu as quelque chose qui m'appartient et je veux la récupérer. Tu fais bien évidemment allusion à ton "argent". Ce salopard t'a volé ta part lors de la dernière partie de Poker. Non. Tu refuses d'admettre qu'il t'a battu. Qu'il a gagné. Ceci arrêtera votre jeu; votre relation entière qui se base sur cela. Tu croises les bras attendant sa réponse. Tu ne bouges pas continuant de le défier du regard. Tu penses qu'il doit être puni pour avoir osé jouer contre toi. Petite bourgeoise friquée du cul tu refuses qu'un connard de classe ouvrière puisse te battre au Poker. Tu t'acharnes sur les autres; sur le jeu; sur lui pour évacuer cette frustration. Têtue, tu continues de jouer contre lui à chaque fois pour le remettre à sa place. Tu n'as toujours pas appris la leçon. Tu ne le feras jamais, d'ailleurs. Capricieuse, gâtée, petite princesse bourgeoise tu obtiens ce que tu désires. Avec lui, tu te sens ligotée et cela t'agace énormément. Tu le sens te contrôler; te manipuler. Et le diable seul sait à quel point tu ne tolères pas que les rôles soient inversés. Tu affiches un grand sourire en ayant une idée de génie. Fière de toi et de ton cerveau; tu ajoutes en articulant clairement: On joue. Tu t'en fous de l'argent. C'est tout simplement ce qu'il signifie qui t'importe. Tu es trop orgueilleuse et fière pour accepter cette situation embarrassante. Sale pute manipulatrice que tu es ; tu regardes ta victime à nouveau. Tu te nourris de son innocence, sa condition avant de l'achever.


hj: Moi aussi.
& en passant, j'aime beaucoup ta réponse. I love you
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Romano Do Vale

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MessageSujet: Re: ∆ fuck me like you hate me.    ∆ fuck me like you hate me. EmptyMar 28 Aoû - 22:30



w/ PI-BRISÉÏS
Tu es loin d'être innocent. Tu ne sais plus vraiment ce que sont la sagesse et la sincérité. Pi est une fois de plus en train de te rappeler de quel milieu elle est issue. Si elle pense que cela t'affectes, elle se trompe. Tu n'as jamais envié les riches. Tu as toujours tout fait seul. Tu voulais pas dépendre de quiconque pour espérer t'en sortir. Sauf que quand tu y repenses, là – la réalité te rattrapes. A ce jour tu as perdu de ton indépendance. La dernière fois que tu as eu ta mère au téléphone, tu lui as dit que le mois prochain tu vas lui envoyer de l'argent. Cela fait tellement longtemps que tu ne les aide plus. Et ça te mets en colère. Cela te rends malade. Tu veux te fracasser la tête à chaque coin de mur que tu rencontres. Tu es parti de São Paulo pour pouvoir prétendre aider davantage ta famille. Sauf que Las Vegas ne respecte pas tes promesses faite à leur égard. Tu te déçois.

Tu as envie de rire à cause de ses remarques. Elle est aussi dure que toi. Tu te contentes de sourire malicieusement. « Je n'avais pas l'intention de t'acheter. » Oui, en quelque chose Pi est déjà à toi. Tu aimes lui rappeler que ce n'est pas le centre du monde, surtout pas pour toi. A tes yeux, elle n'a rien de plus qu'une autre personne sur cette Terre. Elle n'est rien elle aussi. Comme toi. Tu lui ressembles beaucoup au final, malgré ce qu'elle peut penser. Tu n'es pas né avec une cuillère en argent dans la bouche mais vous êtes les même. Fais d'os, de chair et de sang. La mort va aussi l'emporter un jour ou l'autre. Pi finira poussière comme le plus pauvre des humains, bouffée par les asticots ou au mieux, brûler dans un four pour être cendres sans passer par l'étape décomposition. « Tu as quelque chose qui m'appartient et je veux la récupérer. » Tu hausses des sourcils. Pi est à moitié allongée sur le lit. Il suffit que tu la pousses un peu pour qu'elle se retrouve totalement dessus. Mais tu te contentes d'approcher, juste. « Quand est-ce que tu accepteras l'idée que tu sois moins forte que moi ? » Une pause. Tu te demandes depuis quand elle joue au poker mais tu ne dis rien. « Il faut apprendre à accepter ses défaites. » Tu chuchotes presque. Avec tes bras, tu te maintiens au dessus d'elle, ton visage très près du sien. « Tu es une mauvaise perdante Pi. » C'est bel et bien ça, le problème de Pi. Et tu t'écartes d'un seul coup, sans crier gare.

Elle veut jouer. Sa proposition ne te surprends même pas. « Je te préviens, je me balades pas avec mon pactole de l'autre soir. » En vérité, il te restes juste de quoi payer quelques nuits dans ce motel. Tu te diriges vers la petite table en bois qui se trouve devant la fenêtre. Dessus, il y a ton sac à dos. Tu vas chercher au milieu de tes autres affaires, ton paquet de cartes. Ce jeu est vieux mais en bon état. C'est celui de ton père et tu y tiens comme le plus précieux des bijoux. La valeur sentimentale de ce bien peut paraître absurde mais c'est l'un des seuls souvenirs matériels qui te reste de lui. Tu reviens vers Pi en battant déjà des cartes pour les mélanger avec aisance. Dans un deuxième temps, tu balances ta ferraille sur le lit : 50 dollars. Si peu pour la bourgeoise qu'elle est mais assez pour espérer dormir sous un toit pendant cinq nuits. La partie va être longue : combat acharné. Tu ne finiras pas dernier. Le but de Pi est de te dépouiller, le tien est identique. Si tu gagnes sa mise en plus de la tienne, tu finiras avec 100 dollars dans les poches. Ce n'est pas négligeable. Si la partie s'attarde trop à ton goût, tu le pimenteras alors, sans réellement lui laisser le choix. Tu poses tes conditions, après que tu te sois assis à côté d'elle, au bord du lit. « On va se la faire à la pass-out sinon ça risque de durer pendant mille ans. » Tu marques une pause et la défie du regard. « Tu sais ce que ça veut dire. Pas de check. On ouvre, on relance, on sur-enchérit ou on se couche. » Tu lui souris, une pointe de sarcasme dans le fond de tes pupilles. « Si je vois que ça rame, on oublie l'oseille et on mise carrément nos fringues. Je te rappelles que c'est que 5 vêtements autorisés. » Tu es sûr de pouvoir la déshabiller. Et ce sera, sans même la toucher. Un à un, ses vêtements quitteront son corps : chaussures, jupe, top, petite culotte et soutien gorge. Tu retires tes chaussures. Sur toi, un jeans, un t-shirt, des chaussettes et un boxer. « Je te laisse une longueur d'avance pour la deuxième partie. Je porterai que quatre fringues. » Non, tu ne lui laisse pas vraiment le choix.

Tu as distribué les premières cartes et après un bref coup d’œil à ton jeu tu engages 10 $ pour la donne.

le tien l'est également ! ♥


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V. Pi-Briséïs E. Dagmare

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MessageSujet: Re: ∆ fuck me like you hate me.    ∆ fuck me like you hate me. EmptyMer 29 Aoû - 21:37

Tu es une mauvaise perdante Pi. Il t'exaspère. Tu as envie de le frapper mais tu ne bouges pas. Incapable de détacher ton regard du sien. Il t’hypnotise. Pourriture. Tu as pourtant tout fait pour fuir son regard; pour ne pas t'y plonger et t'y perdre comme toujours. Il s'approche de toi mais garde tout de même cette distance qui t'agace, te frustre. Tu veux te coller à lui; réduire cette distance qui vous sépare tous les deux. Tu veux coller ton corps au sien pour qu'ils ne forment qu'un une bonne fois pour toute. Tu en as marre, bordel de merde. Tu es fatiguée. Il te fatigue. VOTRE relation te fatigue, te détruit. Tu es choquée face à ces pensées qui se débattent dans ta tête. Tu es déçue par toi même; par ce niveau bas dans lequel tu te trouves à présent. Vas-tu craquer ? Aurais-tu de l'attirance ou voir plus pour cet abruti ? Es-tu devenue folle ? Des milliers de questions se prolifèrent rapidement dans ta petite cervelle de pute et tu sens qu'elle ne va pas tarder à exploser. Romano t'a irrité en te lançant tes quatre vérités en face sans se gêner. Tu détestes que l'on ait raison. Tu détestes que l'on soit dans une position de force et c'était le cas de ce brésilien à ce moment là. Et toi tu vis dans le mensonge. Tu es fière de ta réplique. Tu es sûre qu'il a compris à quoi tu faisais illusion. Tu veux lui faire du mal. Tu veux qu'il souffres, qu'il tremble de fureur suite à ta réplique. Oui il vit dans le mensonge depuis toujours. Il essaie de rivaliser avec les gosses de riches et de mener le même rythme qu'eux. Il essaie de se révolter; de changer l'équilibre de la nature. Ne sait-il pas que les pauvres resteront toujours en bas et que les riches auront toujours le pouvoir ? Quel imbécile. Il ne faut pas défier la nature ni le système capitaliste. Il ne faut pas essayer de se démarquer; de dire non parmi un troupeau silencieux qui a accepté cette société du capital depuis la nuit des temps. Bref. Tu le regards s'éloigner de toi pour chercher quelque chose dans son sac. Il balance les vieilles cartes sur le lit et tu lâches un ricanement en voyant leur état. Et avare en prime ? Tu aurais quand même pu t'acheter de nouvelles cartes, bon sang. Tu fronces les sourcils avant d'ajouter: La pauvreté ne concerne pas seulement l'argent, apparemment. C'est tout un mode de vie, ma parole. Tu soupires faisant mine d'être désolée pour cette pauvre créature. Tu sors déjà les griffes prête à le massacrer à la moindre occasion s'offrant à toi. Il commence à parler et tu ne peux le quitter du regard. Putain ce qu'il est beau. Tu te rends compte à quel point ses gestes sont coordonnés à la perfection malgré qu'ils soient hâtifs. Dans ses mouvements se cache une aisance, une souplesse. Beauté simple et naturelle: tout ce que tu as toujours détesté. Tu te mords les lèvres discrètement et arques un sourcil en l'écoutant mettre ses conditions. Il commence à t'énerver avec ses ordres et ses répliques. Il te rappelle ta mère avec ses consignes et conseils inutiles. Tu lèves les yeux - égarée, et inspectes le plafond plein de trous et de saletés. Si je vois que ça rame, on oublie l'oseille et on mise carrément nos fringues. Je te rappelles que c'est que 5 vêtements autorisés. Ses paroles te sortent de ta rêverie violemment pour te faire atterrir à nouveau dans cette chambre pourrie. Tu t'étrangles presque en décodant le sens caché de ses mots. Hautain, arrogant; voila ce qu'il est. Il sait que tu ne refuseras pas et ne te laisse vraiment pas le choix. Il l'a très bien calculé. Te connaissant, il sait que tu accepteras cette évolution de jeu quoi qu'il arrive. Perdre à nouveau ? Tu préfères rentrer à poils ou plutôt crever. Tu n'as pas trouvé d'autres façons de me déshabiller; tu t'y prends donc avec les cartes ? Pathétique. Tu accompagnes ta phrase par un petit ricanement et un sourire plein de sous entendus. Tu aspires une bonne bouffée d'air et tu te concentres sur ton jeu. Ça ne va pas du tout ramer. Désolée de te décevoir mais je n'enlèverai absolument rien, ce soir. Tu n'as guère envie de te mettre nue devant lui bien qu'exhiber ton corps ne t'a jamais vraiment gêné. Mais bizarrement cette fois, c'est un peu différent. Et c'est justement cela qui t'agace. Énervée et déconcentrée; très mauvais cocktail quand essaie de gagner au Poker.

hj: Tu m'excuseras pour ne pas avoir fait évoluer le sujet. Je n'y comprends RIEN au Poker donc je n'ai pas du tout su comment faire pour passer au stade suivant. mdr A toi de le faire. Je ferai de même la prochaine fois. Pardon. I love you
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Romano Do Vale

Romano Do Vale
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MessageSujet: Re: ∆ fuck me like you hate me.    ∆ fuck me like you hate me. EmptyJeu 30 Aoû - 0:47



w/ PI-BRISÉÏS
Pi, tu ne la considères pas comme une pute. Ni pour la fille d'un riche homme. Elle est peut être pourrie gâtée, elle a peut être un caractère de vrai petit cochon mais tu l'aimes comme ça et pas d'une autre façon. « Et toi tu vis dans le mensonge. » qu'elle te réponds. Est-ce que quelqu'un sur Terre est sincère à cent pour cent ? Impossible. Le mensonge est humain bien que cruel. Pi pense que tu te révoltes contre la fatalité. En vérité, ce n'est pas tout à fait cela. Tu veux juste rendre la vie de tes proches plus simple. Le sort que tu connais depuis ta naissance, tu le supportes, tu t'y es fait. Ce que tu fais à ce jour, si tu as décidé de mettre à profil tes talents du poker, c'est avant tout pour eux. « Tu ne sais pas de quoi tu parles Pi. » C'est le cas, son monde est fait de paillettes. […] Quand tu l'entends parler de tes cartes juste après les avoir jeter sur le lit, tu sens que ton cœur rate un battement avant que son rythme s'intensifie. Tu lui tournes encore le dos mais tu reviens vers elle. Tu la regardes gravement, voire méchamment. « Fermes ta grande gueule d'enfant pourrie gâtée Dagmare ! » Quand tu es énervé, tu as toujours tendance à parler de quelqu'un ou de t'adresser à la dite personne par son nom de famille. Tu en oublie quelques instants la douceur de son prénom. Il rime en ce moment avec pitoyable. Quelle idiote ! Pour te détendre, tu te fais craquer le dos et le cou. Tu es crispé juste par un propos qui à tes yeux est bien trop gros pour le laisser passer. Tu acceptes bien des coups : critiques, vannes en tout genre de la part de Pi mais là, c'était hors de question. Car au contraire des autres fois, cela te touche pour de vrai. Tu ne lui jamais dit pour ton père. Après tout, qu'est ce que ça peut lui apporter de savoir qu'il est mort quand tu avais seize ans ? Que c'est un gang qui vous a agressé autrefois pour vous soutirer le blé gagné pendant votre dernière partie de poker ? Ton père, mort pour la mise. Bande d'enfoirés ! La gifle que tu avais reçu de ta mère n'est rien à côté de la blessure qui lézarde ton cœur.

« Tu n'as pas trouvé d'autres façons de me déshabiller, tu t'y prends donc avec les cartes ? Pathétique. » Elle lève les yeux au ciel mais tu l'ignores – trop occupé à expliquer le déroulement de la soirée. Pi revient à toi quand tu parles du strip-poker. Tu ne peux pas t'empêcher de sourire. Si tu le veux, là – maintenant, tout de suite, tu peux balancer vos cartes et t'occuper sérieusement de lui arracher ses vêtements. Tu pourrais la déshabiller avec tes dents si l'envie de te prenais. Quand elle dit que le jeu ne va pas traîner, tu relèves ton regard pour accrocher le sien. Ton sourire, il s’agrandit. « Juste ce soir, as tu dit.» Tu marques une pause. Tu la fixe toujours. « Alors, demain. » Tu t'humectes les lèvres et l'observe un temps. Elle réfléchi. Les mimiques de Pi quand elle est concentré t'ont toujours plu. Pi suit, tu dévoiles une première carte du tas qui vous sépare et tu surenchéris. Cela se poursuit et à force de la voir remiser, tu paries qu'elle bluffe. Vous dévoilez vos cartes, verdict. Une paire d'As pour elle. Tu fais la moue puis montre les tiennes : un brelan 9. Belle paire mais pas suffisante pour gagner un brelan. Tu ris doucement, ton visage ressemble à celui d'un enfant quand tu souris. Tu récupères ton gain « C'est trop facile, j'espère que c'était une blague. » Ta cagnotte s'élève à 85 dollars.

Tu gagnes encore. Puis elle se venge. La roue tourne. Tu as 65 dollars, elle en a 35. Vous poursuivez, elle te gagne deux fois de suite et il te restes à peine 44 $. Tu es dégoûté. […] Au dernier tour que vous passez, elle est largement en tête. En vérité, même si tu aimes jouer et que tu veux sortir vainqueur, tu te répètes une fois de plus que c'est à moitié sérieux. Cela vous amuse plus qu'autre chose. Ce n'est pas spécialement pour le gain et tu t'ennuies. Pi commence à distribuer pour un nouveau tour, tu l'interromps. « C'est même plus drôle, on passe à la phase numéro deux. » Pi va sans doute penser que tu veux arrêter parce que tu perds mais pas du tout. Tu veux du divertissement et les règles sont déjà établies. Tu t'étires et soupire longuement, ton dos reste douloureux de la dernière rencontre que tu as eu avec un gars. Tu as soudain envie d'un clope. Tu te lèves, te diriges vers la table pour prendre ton paquet de tabac mais tu ne trouves que peu de miettes pour espérer t'en rouler une. Tu laisses échapper un soupire.

Tu as appelé la réception pour demander qu'on vous monte un whisky et une vodka pour elle. En attendant que vos verres arrivent, vous avez commencé à jouer. « J'espère que tu portes ton plus bel ensemble, genre dentelle noire. » Tu cherches son regard et le rabaisse pour voir ses cartes dévoilées. Tu as gagné. Pi sait ce qu'elle doit faire et tandis que tu la fixe, on toque à la porte. Quand tu reviens, les chaussures de Pi ont quittés ses pieds. Tu lui tends la vodka puis boit de ta boisson avant de distribuer la nouvelle donne.

pour la suite, essaye de lancer un tour. sers toi du cheminement envoyé par mp Wink


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V. Pi-Briséïs E. Dagmare

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MessageSujet: Re: ∆ fuck me like you hate me.    ∆ fuck me like you hate me. EmptyVen 31 Aoû - 8:02

Tu ne sais pas de quoi tu parles Pi. En effet, tu ne sais pas du tout de quoi tu parles. Ou pour être plus exact, tu t'en fous royalement. Tu ne t'es jamais vraiment souciée des problèmes des gens et ce n'est pas maintenant que cela va changer n'est-ce pas ma Pi ? Tu as envie de remuer encore plus le couteau dans la plaie mais bizarrement tu te tais. Tu te contentes d'hausser un sourcil et de te concentrer ensuite sur les cartes étalées en face de toi. Tu les observes; tu fronces les sourcils comme pour essayer de deviner l'histoire qui se cache derrière ces vieilles cartes pourries. Il y a bien une histoire quelque part; non ? C'est toujours comme ça. Il y a bien une raison pour qu'il ait gardé ces cartes alors que c'est un joueur professionnel de Poker ?! Tu t'égares rapidement dans ta rêverie habituelle bien trop superficielle pour te soucier plus longtemps de ce problème qui te semble secondaire. Tu lui lâches une autre remarque plus blessante et cette fois tu arrives à bien la placer. Touché. Il change rapidement d'humeur. Grincheux, il te crache au visage. Il t'insulte presque; te crie dessus te demandant de fermer ta gueule de petite bourgeoise. Tu rigoles. Tu t'en fous de sa grossièreté, de sa méchanceté, du ton de sa voix. Tu t'en réjouis, même. Tu te sens vivre en voyant la douleur et la peine dans son regard. Tu es beaucoup plus habituée à cela. Tu as toujours adoré ce côté de votre relation. Que tout soit permis. Que rien - absolument rien - ne soit tabou. Pas de limites ou de barrières; vous êtes libres dans tous les sens du terme. C'est dangereux; tu en ais bien consciente et pourtant tu t'y accroches de toutes tes forces. Tu aimes le danger; l'inhabituel. Tu as toujours été différente des autres dans ta façon de voir les choses. Romano en est une. Tu sens son malaise par rapport à ce sujet toujours lié aux cartes et tu te sens presque mal pour lui d'être sensible à ce point là. D'être faible. Mais cela ne dure pas bien longtemps. Tu es incapable d'être émotive. Tu n'as jamais eu de problèmes pour pouvoir sentir ce que les autres ressentent. Non tu te ne te la joues pas inaccessible et mystérieuse. Non, tu es comme ça. Tu es insensible, peste, garce, méchante, pute, arrogante, manipulatrice. Tu es née avec une cuillère en argent bien enfoncée dans ta petite bouche de princesse. Comment voudrait-on que tu sois sensible ou que tu éprouves la moindre pitié pour les autres ainsi qu'à leurs soucis ? C'est absurde. Tu soupires - dégoûtée en voyant Romano gagner la partie. Lasse, tu montres tes cartes attendant de voir les siennes et d'accepter ta faillite. C'est même plus drôle, on passe à la phase numéro deux. Tu affiches un large sourire. Tu aimes pimenter le jeu; le rendre plus intéressant. Tu t'en fous de l'argent. Cette partie n'a jamais été à propos du gain. Oh grand Dieu, non. J'en étais sûre. Tu te réjouis presque à l'idée d'avoir lu dans ses pensées. Rapidement cette réjouissance se transforme en dégoût et tu frissonnes déçue de ta faiblesse qui devient de plus en plus répétitive ces derniers jours. Il te sauve à nouveau de tes pensées cruelles et te fait une remarque sur ta lingerie. Connard. Toujours aussi taquin et direct. Je te conseille de ne pas t'aventurer dans ce terrain là, Do Vale. Je crains que tu sois bien trop pubère pour supporter de voir ma plus belle lingerie. Tu marques une longue pause en lui adressant un sourire angélique et ajoute, lentement: [color] Je ne veux pas être responsable d'un traumatisme de plus ajouté dans ta longue liste de désespéré. [/color] Tu le regardes se lever pour chercher des cigarettes. Et comme toujours, tu sens ton coeur se serrer en attendant de voir si il a des cigarettes ou pas. Tu te réjouis en voyant qu'il fait la moue. Tu les détestes ces satanées de cigarettes. Tu les jalouses, tout simplement. Tu te vexes en voyant la finesse et la délicatesse qu'il use en roulant le tabac. Le tic qu'il fait en l'allumant et le plaisir qui se dessine sur ses traits quand il aspire une bouffée. Tu vas finir par mourir toujours puceau à force de fumer ces saletés. Tu grimaces en jugeant que tu n'aurais jamais du lui faire cette remarque. Tu n'aurais jamais du montrer que tu te souciais de quoi que ce soit. Tu te racles la gorge en espérant qu'il n'ait rien remarqué. Tu lances un tour. Roulement de tambours. Verdict: Tu perds à nouveau. Putain. Fait chier. Tu jures. Tu n'aimes pas perdre; surtout pas deux tours de suite. Fiche journée. C'est à cause de tes cartes de merde des années 30. Pathétique. Tu t'y prends aux cartes, maintenant. Tu continues d'être vulgaire, grossière. Tu t'en fous. Tu as toujours été comme ça. Cela fait partie de ton charme, on va dire. Tu regrettes de ne pas avoir porté beaucoup plus d'habits. Tu roules des yeux avant d'enlever rapidement ton top. Lingerie noire. Il a bien visé, cet idiot. Tu anticipes pour ne pas lui laisser le temps de fanfaronner. Coup de chance, rien de plus. Ne sois pas trop content. Je vais te déshabiller en moins de deux secondes. Tu regrettes à nouveau tes paroles.
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Romano Do Vale

Romano Do Vale
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MessageSujet: Re: ∆ fuck me like you hate me.    ∆ fuck me like you hate me. EmptyDim 9 Sep - 10:37



w/ PI-BRISÉÏS
En plus d'être un peu trop insensible, peste, garce, méchante, arrogante et manipulatrice, elle est dangereuse pour toi. La raison ? Pi pourrait te rendre fou d'elle, un peu plus que tu l'apprécies déjà. Tu as aussi peur de la façon qu'elle pourrait faire basculer ton cœur si cela l'amuse. Tu espères au fond que rien de cela arrivera un jour. Pi est aussi une fille qui ose. Si d'ordinaire, tu aimes ça, son pic – pendant les premières secondes, tu as du mal ! Cependant, tu es passé outre sa remarque.

La façon qu'elle a de sourire, peut te couler si tu tâches de la fixer assez longtemps. Tu prends le risque et fixe sa bouche quand elle prend la parole. Ses yeux clairs, tu les rejoins. Tu as envie de rire. « C'est vrai que ton gros cul et tes bourrelets risquent de me choquer. » dis-tu pour te moquer. Peut être que cela va lui faire mal ou bien la faire rire à son tour. Mais comme tu le sais, tous les coups son permis. Tu n'as pas vraiment conscience du fait que peut être, Pi a des soucis avec son corps, des complexes qui selon toi n'a pas lieu d'être et pourtant, c'est dit. Tu surveilles les moindres traits de son visage pour en déceler une moindre expression. Tu ne t'attardes plus et la quitte un instant, en quête d'une clope. Ce que tu trouves à la place – pour la première fois, et c'est bien pour cette raison que cela t'interpelle, c'est Pi – inquiète. Tu hausses les sourcils tandis qu'au fond de toi, tu as la rage de ne pas avoir ce que tu veux. Tu pivotes alors sur tes talons pour lui faire face. Tu n'as pas retenu sa blague sur ton soit disant statut de puceau mais davantage sur le ton qu'elle a prit. « Mademoiselle Dagmare s'inquiète maintenant ? » La bonne blague. Tu n'as pas le souvenir que vous êtes un premier avril aujourd'hui. Soit. Si elle le désire, tu peux bien lui démontrer que tu es loin d'être non expérimenté niveau sexe. Cela ne te dérange aucunement.

Elle perd, peste son mécontentement et insulte les cartes de ton père, une fois de plus. « C'est à cause de tes cartes de merde des années 30. » Tu retiens un soupire et serre la mâchoire pour éviter d'être trop cru. Si tu pouvais, pour la faire taire, tu scellerais vos lèvres en un baiser. Sa bouche, tu rêves secrètement d'y goûter. « Arrête d'être vulgaire, tu veux ? » Tu as le ton sec. Tu as une nouvelle fois envie de fumer. Tu te relèves, fouille avec agitation le contenu de son sac. Tu te souviens avoir gardé un fond de tabac dernièrement après t'être un roulé un buzz. La chance est avec toi, tu trouves une boulette de tabac, juste assez pour te rouler une fine cigarette. Tu souris. Il te faut moins d'une minute pour qu'elle se retrouve entre tes lèvres. Tu embrases son bout, rougit sa fraise en inspirant une première taffe. Tu laisses la fumée brûler ta gorge et meurtrir un peu plus tes poumons. Tu reviens vers Pi, avec un bouchon de bouteille pour faire office de cendrier.

Une fois de plus, tu gagnes. Pi retire son top. Tu ne t'ai pas trompé. Elle porte bien de la lingerie noire. Tu souris, fièrement en caressant du regard les courbes de ses seins habillaient de dentelle. C'est un vrai régal pour les yeux. La poitrine est la partie que tu préfères chez une femme. La sienne est ravissante, il n'y a pas de doute.

Tu sais bien sûr, l'attirance physique que tu ressens vis à vis de Pi. Tu n'es pas dupe. Concernant la sienne ? Tu es davantage conscient qu'elle, que tu l'attires aussi. Pi doit avoir sans doute honte d'être attiré par un mec comme toi. C'est donc comme un con que tu souris en l'entendant ronchonner. « Tu commences à accepter l'idée que je te plais. Il t'en a fallu du temps. » Tu souris, malicieusement. Tu peux réellement arrêter de jouer et lui faire l'amour tout de suite mais tu préfères pimenter le jeu et à la fois, trouver une façon de la provoquer elle, et ses pulsions à ton égard. Tu te tortures aussi, c'est vrai. Tu décides de mal jouer quelque fois, pour te dévêtir doucement mais sûrement. Tes chaussettes et ton t-shirt quittent ton corps. De ce fait, tu dévoiles ton torse musclé, bien que marqué. Tu as la peau bronzée mais aussi égratignée par ci, par là. La cause ? Tes mésaventures, rien de grave. Ce qui se voit le plus, c'est le bleu que tu traînes au niveau de tes côtes. Il est dût à gros coup de pied dans le ventre. Cela remonte à une semaine. Dans ton dos, tu as aussi une cicatrice suite à une entaille longtemps faite après ton essai a échapper aux trousses d'un agresseur. Ta vie est tumultueuse, elle n'est plus aussi calme et belle qu'à l'époque de ton arrivée à Las Vegas, lorsque seuls les succès rimaient avec ton existence.
Tu passes ta langue doucement sur tes lèvres pour te délecter du goût de l'alcool que tu viens de finir. Coup numéro 5, tu distribues les cartes. Elle perd et retire sa jupe. Cela commence sérieusement à devenir intéressant. Ce que tu aimes chez Pi, au niveau physique c'est qu'elle n'est pas mince limite anorexique. Elle est fine mais n'a pas la chair sur les os. On ne voit pas ses os, on les devine sous une peau que tu as envie de caresser soudainement. Ses jambes tu veux les ramener autour de ton bassin après l'avoir porté pour la tenir près de ton torse. Tu veux sentir Pi, proche de toi. Rien qu'une fois, au moins.

Sixième tour : une paire de trois et un valet. Tu n'as pas de chance. Tu relèves les yeux vers Pi pour voir la façon qu'elle a d'examiner ses cartes. Son sourire en coin, tu le perçois. Tu te souviens des fois où vous jouer sur une même table, plus sérieusement qu'à présent en compagnie d'autres joueurs. Ces genres de mimiques, sont ses points faibles. Elle n'arrive pas toujours à rester neutre. Et ces détails, tu les décèles tout le temps. Tu la soupçonne donc à présent d'avoir en main, déjà un jeu qui lui promet victoire. Tu décides de bleffer et tandis que vous finissez le tour, tu dévoiles enfin tes cartes. Pi à son tour. Elle possède un brelan As. Ô la peste ! Mais au fond tu t'en fou. Tu te lève, descends la fermeture éclair de ton jeans et l'enlève. Tu te retournes un instant histoire de lui laisser la liberté de reluquer tes fesses moulées dans ton boxer blanc. Sauf qu'à côté, tu lui dévoiles aussi la blessure de ton dos. « Bien joué ! » Tu reprends ta clope, laissée sur le bord du dit cendrier et la rallume. Tu tournes la tête pour souffler et ainsi éviter asphyxier Pi. Normal, tu as toujours respecté les non fumeurs. Tu les admire même. Quelle grosse connerie quand même de fumer. « Tu triches à avoir de seins. C'est totalement avantageux ! » Tu distribues, bien décidé à lui faire enlever son soutien gorge. Ainsi, vous serez quitte.

mon dieu, j'ai honte...je ferai mieux tantôt !
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V. Pi-Briséïs E. Dagmare

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MessageSujet: Re: ∆ fuck me like you hate me.    ∆ fuck me like you hate me. EmptyDim 9 Sep - 15:08

Tu le détestes et pourtant te voilà ici - chez lui - à moitié nue. Tu ne peux te retenir d'accompagner ta défaite d'une bonne pique essayant de faire du mal à Romano. Jeu dangereux. Il réplique instantanément et sa remarque te vexe. Tu fais la moue. Tu boudes et tu oublies de le dissimuler. Susceptible, tu l'es. Derrière tes airs de petite peste bourge et manipulatrice se cache une gamine de trois ans. Tu as beaucoup de points faibles et malheureusement pour toi, Romano en fait partie. Sa remarque n'aurait pourtant pas du te déstabiliser vu que tu es consciente que tu as un beau corps. Mais quand ça vient de lui, c'est bien différent. Tu n'aimes pas ce contrôle, cet effet qu'il a sur toi qui te fait perdre tes repères en une fraction de seconde. En sa compagnie, tu te métamorphoses en cette Pi susceptible, enfantine et peu confiante. Tu le détestes. Grincheuse, tu as envie de jeter les cartes sur le lit et de te casser une bonne fois pour toute. Mais tu refuses de lui donner cette satisfaction. Tu fronces alors les sourcils - comme tu le fais à chaque fois - et tu te concentres sur tes cartes pourries. Je suis maudite. Apparemment. Tu as toujours eu de la chance en matière de carte et depuis que ce bon vieux Do Vale a débarqué à Las Vegas, la roue a tourné de 180 degrés. Tu soupires et reportes ton attention sur Romano. Ce dernier se lève et cherche ses cigarettes, impatiemment. Tu lui glisses rapidement une remarque par rapport à sa santé. Tu le regrettes. Tu n'aurais jamais dû lui prouver à quel tu t'en souciais. Tu te mords les lèvres et baisses la tête en priant Dieu pour qu'il ne fasse pas attention à cela. Mais en vain. Mademoiselle Dagmare s'inquiète maintenant ? Et merde, alors. Tu soupires et te rattrapes rapidement en ricanant. Mais oui bien sûr, c'est cela. Tu marques une longue pause et en profites pour réfléchir à une autre façon de le vanner, comme tu le fais si souvent. Tu sèches. Tu t'affoles. Tu n'as rien d'autre à dire. Tu aurais très bien pu lui dire à quel point il rendrait un service à la communauté entière si jamais le tabac lui crèverait les poumons mais tu en étais incapable. Oui. Tu étais incapable d'imaginer le fait que Romano disparaisse pour toujours. La simple idée de vivre sans cet emmerdeur t'angoisse. Cela te frustre de te rendre à quel point tu t'attaches à lui de plus en plus. Ces sentiments contradictoires t'épuisent. Tu ne sais plus quoi penser ou comment te comporter avec lui. Tu te mets alors à évacuer tout ceci en lui faisant du mal. Oui, tu essaies de toutes tes forces de le faire souffrir. Qu'il crève. Qu'il crève de souffrance, de tourments ; tu en as marre. Tu n'en peux plus. Tu as envie de le frapper, l'embrasser, le massacrer, l'enlacer, lui défoncer la tête contre un mur ; le baiser. Tu es un vrai bordel et ça te fatigue. Tu es tellement emprisonnée par tes pensées que tu perds ta concentrations. Une autre défaite. Tu jures. Tu insultes les cartes de Romano et il te traite de vulgaire, sèchement. Tu en as rien à foutre. Tu sais très bien que tu l'es; tu l'as toujours été. C'est d'ailleurs l'une des raisons pour laquelle tu te querelles constamment avec ta mère. Cette dernière trouve que tu es bien trop vulgaire, grossière pour être une Dagmare. Toi, tu n'es pas du même avis. Tu trouves que c'est seulement les gros mots qui peuvent vraiment décrire ce putain d'univers. Tu aimes ce contraste entre ton aspect angélique et ta vulgarité. Tu es pleine d'oppositions et cela fait partie de ton charme. Non. Son ton sec te rappelle ta mère et cela t'agace. Tu te fermes; tu répliques alors sèchement. Tu n'aimes pas qu'on te juge. Non, tu n'aimes pas qu'IL te juge. D'habitude, tu n'aurais guère accordé une grande importance à une remarque aussi bidon. Bien au contraire, tu aurais ricané en appuyant cette position. Mais encore une fois, c'est différent. Tu t'exaspères. Tu n'aimes pas ta façon de penser. Tu n'apprécies pas du tout d'accorder une aussi grande importance à ce que ce connard puisse penser de toi. Tu le regardes se lever - encore une fois - pour chercher une clope. Malheur, il en trouva une. Tu cesses presque de jouer, hypnotisée par ses mouvements. Tu t'étrangles presque en la voyant emprisonnée entre ses lèvres. Jalouse. Tu as envie de la lui arracher; de l'écraser; de coller tes lèvres contre les siennes pour remplir ce vide laissé par cette clope. Mais tu ne bouges pas. Tu te contentes de soupirer et de reporter ton attention à nouveau sur tes cartes. [...] Dans tes rêves. Je ne suis pas désespérée à ce point. Pauvre créature. Tu continues de lui mentir; de te mentir à toi même. Pathétique, tu nies l'évidence. Tu continues de t'agripper à cette petite lueur. Tu continues d'espérer qu'on te sauve de cette boule dans laquelle t'es emprisonnée depuis trois ans mais que tu l'ignores toujours. Tu sais pourtant qu'il t'attire dangereusement et encore ceci est un euphémisme. Mais tu refuses de t'abandonner à cette idée. L'attirance, l'amour; ce genre de sentiments sont bien trop éphémères mais surtout funestes. Tu te protèges; tu fuis cela pour pas qu'on te blesse; qu'on te brise en milles morceaux. Bref. Tu te retrouves en sous vêtements et affiches tout de suite après un large sourire quand Romano se lève pour se déshabiller à son tour. Tu le mates. Oui, tu prends ton temps de balayer du regard son corps bien musclé et bronzé. Tu t'attardes sur certaines coups bleus éparpillés un peu partout sur sa peau. Tu te dis alors que c'est normal vu que c'est un grand bagarreur. Tu préfères ne pas y penser; ne pas trop t'impliquer. Pervers. Tu n'as jamais vu une paire de seins, auparavant ? Je m'en doutais. Je t'avais pourtant conseillé de ne pas jouer. Assumes, maintenant. Tu laisses échapper un rire et ta voix s'éteint rapidement au moment ou tu aperçois la grande cicatrice bien dessinée sur son dos. Ton coeur fait un bond dans ta poitrine et sans même t'en rendre compte tu commences à t'affoler. Bordel. Mais quest-ce que c'est que ça ? Guidée par ta petite folie du moment, tu te lèvres et effleures rapidement du bout de tes doigts cette grande marque. Tu recules rapidement en te rendant compte à quel point tu avais dépassé toutes les limites que tu avais fixé auparavant en te collant à lui. Tu te racles la gorge et te laisses tomber sur le lit. Tu fixes tes cartes et ajoutes en fuyant son regard: On joue. Oui, ce n'est qu'un jeu ma petite Pi et tu commences vraiment à y perdre dans tous les sens du terme. Fais gaffe.

hj: tu rigoles ? j'étais en totale admiration devant ta réponse. JE m'excuse pour cette horreur; je suis fatiguée, c'est pour cela.
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Romano Do Vale

Romano Do Vale
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MessageSujet: Re: ∆ fuck me like you hate me.    ∆ fuck me like you hate me. EmptyDim 9 Sep - 21:06



w/ PI-BRISÉÏS
Ta vie a changé depuis ton arrivée à Las Vegas. São Paulo ne ressemble à aucune autre ville. Las Vegas, de même. Tu restes pourtant proche de ton pays natal, tes racines ancrées dans ton cœur avec tes souvenirs. Depuis que tu es rentré dans la vie de Pi, tu as totalement chamboulé son petit monde. Le tien l'est également, dire le contraire serait mentir. Tu te sens proche d'elle, tout autant que tu trouves que vous, vous ressemblez si peu. Pi est issue d'une riche famille, tandis que tu arrives tout droit d'une favelas. Mais là n'est pas le soucis. Vous êtes à tes yeux, totalement opposés bien que complémentaires d'une certaine façon. Pourquoi cette impression ? Tu ne sais pas l'expliquer toi même. Tu ne sais pas quels mots poser sur votre relation. Elle te hais, tu la méprises aussi un peu.

L'entendre dire qu'elle est maudite, te fais sourire en coin. Tu le prends comme un aveu. Tout autant que tu ne crois pas un seul instant qu'elle ne s'inquiète pas pour toi. La voir se mordre les lèvres t'enchante. Bien que son comportement te semble étrange, tu marques un long silence. Pi est soudain tendue quand tu lui dit de se la fermer après qu'elle est mal parlé des cartes de ton père. Si elle savait l'histoire qui se cache derrière elles, serait-elle aussi hautaine ? Tu n'en sais rien. Tu sais juste conscient à cet instant, du malaise de plus pèse sur vous. L'ambiance est étrange. Tu décides de ne rien ajouter, bien qu'en fait tu n'as pas l’intention de remuer le couteau dans la plaie. Penser que ton père est mort à cause de toi te tourmente déjà bien assez le jour et la nuit pour pouvoir t'attarder dessus encore longtemps. Dans le silence qui habite Pi, tu descelles quelque chose dans son regard sans pour autant en deviner le sens. C'est ce qui te perturbe et te frustre d'un seul coup. De la colère, peut être. Que peut-elle ressentir d'autre à part cela à ton égard ? […] Sa colère s'est épuisée. Ta curiosité aussi. Vous continuez à jouer depuis quelques minutes, les coups partent, les vannes aussi. « Dans tes rêves. Je ne suis pas désespérée à ce point. » Alors ainsi, tu ne la trouble pas. Raté. Tu as envie de rire, ce que tu fais doucement. Tu te concentres sur ton jeu et c'est à toi de te déshabiller un peu plus. Tu n'as pas prit le soin de masquer tes blessures. Ce n'est pas un secret que tu sois un bagarreur, un chercher de problèmes sans doute aussi. Tout Las Vegas sait à la fois pour tes problèmes d'argents et pour tes mauvais rapports avec certaines personnes. On te soupçonnes depuis longtemps d'avoirs des problèmes à cause de l'argent et du jeu. Certains veulent aussi peut être ta mort, qui sait – peut être qu'on te traques pour venir à l'issue de leur chasse, t'éclater la tête avec une balle. Si tu te sentais en danger à São Paulo, c'est aussi le cas en Amérique. Tandis que tu t'es débarrassé de ton jeans et que tu roules ta clope, tu entends Pi. Au départ, détendue. « Pervers. Tu n'as jamais vu une paire de seins, auparavant ? Je m'en doutais. Je t'avais pourtant conseillé de ne pas jouer. Assumes, maintenant. »Tu as aussi envie de rire. Et de lui répliquer quelque chose pour ta défense. Sauf que le ton de sa voix change. Tu perçois l'agitation inhabituelle qui habite son timbre. Tu fronces les sourcils légèrement. « Bordel. Mais qu'est ce que c'est que ça ? » Tu n'as même pas le temps de te retourner que tu sens déjà son doigt t'effleurer la peau. Ton cœur rate un battement sans que tu puisses l'éviter. Tu pivotes sur tes talons pour lui faire face et t'écarte d'un pas. Tu creuses entre vous l'espace qui te permettras de garder ton sang froid. Oui, tu n'es pas du genre à avoir envie d'une femme juste parce qu'elle se trouve en sous vêtement devant toi. Mais non, tu ne mentirai pas en disant que c'est toujours plus difficile quand il s'agit de Pi. Tu as senti quelques secondes son corps contre le tien. Ses jambes effleuraient les tiennes. Pi est aguicheuse sans avoir cherché à l'être. Tu déglutis. Tu t'humectes les lèvres. Ta cicatrice te brûle, non pas parce que tu as mal mais par la caresse de Pi. Tu bouillonnes de l'intérieur. Une chaleur occupe ton corps. C'est une torture – d'autant plus car elle se trouve très proche de toi. Tu ne peux à présent te retenir de reluquer sa poitrine. Elle se recule, fort heureusement pour tomber sur le lit. Ce qui vient de se produire te perturbes. Le fait de la voir allonger, ainsi affalée ne t'aide pas non plus à respirer plus normalement. Tu as toute l'aise de pouvoir contempler son corps. Tu détournes le regard de ses courbes. Difficilement.

Où est le problème ? Tu n'en sais rien. Un instant, tu restes là. Tu poses une nouvelle fois ton regard vers elle et tu prends goût à décrire avec tes pupilles, la courbe de ses reins et à te rendre compte de la présence d'un grain de beauté dans son cou. En plus de la douceur de sa peau, que tu soupçonnes d'un simple regard posé sur les parties dénudées de son corps. Tu te calmes un peu, oublie cette envie qui te torture. Du fait que tu pourrais dans une seule pulsion la dévêtir de sa fine lingerie et venir te loger entre ses cuisses en lui baisant la peau. Tu as du mal à te remettre du court instant où vous, vous êtes touchés mais tu y arrives.

Tu avales ta salive et reviens t'asseoir sur le lit. Tu distribues. Tu tâches de te concentrer et cela paye. Tu as l'air moins perturbé que Pi, qui doit une fois de plus retirer quelque chose. Tu penses alors que c'est sans doute le soutien gorge qui céderas. Tu ne te trompes pas. Cette chaleur qui t'a prit précédemment revient. Ton cœur s’affole encore une fois, malheureusement. Tu fronces les sourcils doucement puis détend ton visage en souriant. Tu mattes franchement, tu ne cherches pas à te cacher. Tu souris, satisfait. Pi est bonne. Tu es un peu vulgaire sur le coup, mais pas réellement au fond. C'est jusque que l'excitation t’habite progressivement. Tu n'es plus sûr de pouvoir te contenir si elle décide de tarder. Ce que tu veux dire, c'est que tu as toujours trouvé Pi à ton goût. Que ce soit physiquement ou au niveau de son caractère. Bien que des fois, tu aimerais la recadrer sur certaines choses, tu aimes aussi bien ses défauts que ses qualités. Pi est désirable en tout point.

Tu veux en finir avec cette partie qui à la place de la torturer elle, te tortures tout aussi bien. Tu es prit dans ton propre piège. Bien que tu sais que la mettre à nue entièrement n'allait pas t'aider, tu sais aussi que de te mettre à poil n'allait rien n'arranger pour toi. Pas que tu allais lui montrer comment elle te faisait de l'effet car même si elle te perturbait, tu savais te contenir à ce niveau là – tes pupilles dilatées témoignent d'elles même ton désir sexuel. A vouloir clôturer cette partie, tu perds. Peu importe. Tu balances doucement tes cartes avant de glisser tes doigts dans l'élastique de ton boxer pour le retirer. Tu te retrouves totalement nu. Tu ne cherches pas à te camoufler. Tu souris en coin tout en rangeant les cartes. « Je crois bien que nous avons un perdant. » Cela lui ferait trop plaisir que tu la désignes comme gagnante directement. Alors, tu t’abstiens de le faire. Tu marques un silence et vire ton pseudo cendrier et les cartes par terre. A tes yeux, ce n'est pas terminé. Il n'y a pas eu de point final à votre partie. Au risque de te faire mal, tu as quand même envie de la provoquer encore. Tu t'approches de Pi, vient positionner ton visage très prêt du sien pour sentir son souffle contre ton visage. Tu la fixes, tu descends ton regard vers ses lèvres puis t'approches un minimum mais quand tu t'apprêtes à enfin toucher ses lèvres, tu agrippes sa taille et l'attire contre toi. Ton corps contre le sien, tu es au dessus d'elle. Ta peau contre la sienne est comme un électrochoc pour toi.Tu respires par la bouche et ton souffle est le seul briseur du silence de cette chambre. Tes mains dans son dos, tu en remontes une vers son épaule que tu effleures avant de prendre appui sur ton bras pour te tenir au dessus d'elle. Tu souris.  « Nous n'avons pas totalement terminé.  » dis-tu dans un souffle.  « Je t'ai dis que tu finiras à poil. Il est minuit. Le demain dont j'ai parlé hier, il y a une heure, est aujourd'hui. » Tu ne sais pas si tu as était bien clair mais tu ne te répéteras pas. Tu poses ta main sur le haut de sa cuisse et lui serre doucement la peau. Ton cœur bat fort. Tu sens que le sien aussi. Tu libères sa jambe mais l'otage de ton jugement dernier reste à présent le creux de son cou. Tu prends soin de l'embrasser tandis que tu glisses déjà ton doigt dans l'élastique de sa petite culotte. Tu n'iras pas plus loin que ça et même si cette proximité te tortures bien que tu n'aurais pas voulu, tu restes là, ta bouche sur sa peau un petit instant avant de relever ton visage et t'attendre la sentence. Une gifle, un juron, les deux. Une porte qui claque aussi violemment que sa main sur ta joue. C'est un jeu, n'est ce pas ? Tu le prends comme ça, pourquoi sous un autre angle ?

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V. Pi-Briséïs E. Dagmare

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MessageSujet: Re: ∆ fuck me like you hate me.    ∆ fuck me like you hate me. EmptyDim 9 Sep - 23:24

Pi, oh ma chère et tendre Pi. Tu as brisé l’une des règles les plus importantes de ce jeu en t’approchant de lui. Tu n’as su contrôler tes pulsions – pour une fois et tu t’es retrouvée bien trop collée à lui. Tu avais effleuré sa cicatrice et sa profondeur t’a vraiment inquiété. Tu t’es souciée de lui et cela est inadmissible dans ton monde. Tu es déçue de ton comportement ; de ta faiblesse quand il s’agit de lui. Tu recules rapidement croyant que cela sauvera la situation. Tu te trompes. C’est déjà trop tard. Tu n’aurais jamais dû trop t’impliquer dans cette histoire. Non. Tu n’aurais jamais dû être aussi sentimentale et émotionnelle. « On joue. » Ce qui s’est passé t’a complètement déstabilisé. Tu as essayé de te concentrer tant bien que mal mais tu sais d’emblée que c’est perdu d’avance. Tu n’es plus en mesure de jouer, de gagner. Ton esprit est ailleurs, à cet instant. Tu n’arrêtes de réfléchir à une vitesse surhumaine. Tu veux à tout prix deviner ce que pense Romano de tout cela. « Je crois bien que nous avons un perdant. » Tu fronces les sourcils – complètement ailleurs – ne comprenant pas le sens de ses paroles. C’est seulement en voyant son boxer tomber par terre que tu réalises qu’il a perdu la partie. Tu te forces à sourire, faisant mine d’être fière de ta soi-disant victoire. Drôle de victoire. Le trophée n’est pas assez satisfaisant à ton goût. Tu n’as pas le temps de le mater qu’il s’approche dangereusement de toi. Ses lèvres presque collées sur les tiennes. Tu sens son souffle frais te balayer le visage. Ton regard accroche le sien et ne peut plus s’en détacher. Tu as la nausée. Tes lèvres sont entrouvertes réclamant les siennes. Ces dernières s’y attardent avant de changer de direction. Tu es déçue ; tu ravales ta salive. Tu as envie de l’embrasser mais tu ne bouges pas. Paralysée. Fébrile, ton souffle s’accélère à fur et à mesure que la bouche de Romano s’approche de ton cou. « Nous n'avons pas totalement terminé. » Tu ne bouges toujours pas continuant de fixer du regard sa bouche qui s’ouvre et se ferme lentement. « Je t'ai dis que tu finiras à poil. Il est minuit. Le demain dont j'ai parlé hier, il y a une heure, est aujourd'hui. » Tu retiens ton souffle suite à sa remarque. Tu ne comprends pas. Ton cerveau refuse de t’obéir et cesse carrément de fonctionner. Tu mets alors deux minutes pour tout rassembler dans ta tête. Tu te rappelles alors de ce qu’il t’a dit au début de la soirée. Tu t’étrangles presque. Quel culot. Tu es en admiration devant son courage et hardiesse soudaine. Il ne te laisse même pas le temps de digérer cela. Il appuie doucement ses lèvres sur ton cou et commence à y déposer des baisers. Tu frissonnes. Tu t’agrippes au lit et ferme les yeux instantanément. Tu le détestes. Quel connard ; il a visé ton plus grand point faible. Touchée. Ton désir s’accroit alors qu’il balade dangereusement ses doigts au niveau de ta cuisse. Tu sens qu’ils s’arrêtent sur l’élastique de ta culotte. Il s’interrompt et t’as presque envie de râler. Tu es ballotée par le désir. La température de la chambre te semble monter telle une flèche. Les battements de ton cœur s’accélèrent de plus en plus et tu sens que ton cœur va bientôt faire un bond pour se détacher de ta poitrine. Tu l’entends tellement fort et tu pries Dieu pour que ce ne soit pas aussi le cas de Romano. Ce dernier, figé, attends en quelques sortes ton approbation. Au début, tu trouves cela charmant qu’il ne se soit pas imposé en t’arrachant directement ta culotte. D’ailleurs, tu es un peu surprise car vu le changement soudain de la situation tu t’attendais vraiment à te retrouver à poils d’un coup. Tu as toujours aimé le côté bien lunatique et imprévisible de Romano. Cela rend votre relation encore plus surprenante et amusante mais aussi extrêmement dangereuse. Là, tu te retrouves devant un grand dilemme. Tu aimerais tellement qu’on prenne la décision pour toi – cette fois. Tu ne sais pas quoi dire ni comment agir. D’habitude, tu prends le dessus. D’habitude c’est toi qui domine car tu n’accordes aucune importance à tes « partenaires ». Mais cette fois – malheureusement – c’est différent. Oui, nous revoilà à nouveau dans la case de départ. Tu te rends alors compte que tes mains sont ligotées et le seront toujours quand il s’agit de toi et Romano. Tu te rends compte que tu ne peux pas avancer craignant de te casser la tête en prenant une bonne vanne ou un vent. Tu ne peux pas non plus tout arrêter car tu t’es déjà bien trop impliquée dans cette relation pour en sortir indemne. Bordel. Tu es perdue. Soudainement, ça te parait comme une évidence. Ca y est. C’est la fin. C’est la fin de votre misérable jeu de torture. Tu te dis alors que tout va s’arrêter après cela. Que le mur de cette chambre de motel à 5 dollars sera le seul témoin de vos ébats torrides. Qu’il sera le premier mais aussi le dernier. Que tout de suite après, Romano se lassera de toi et te repoussera. Pour la première fois de ta vie mesquine, tu te rends compte que tu ne veux pas le perdre. Cette idée te frustre. Ta tête te fait mal et t’as envie de te la fracasser contre le mur pour que ces milliers de voix s’arrêtent de te déchirer la cervelle. « GROS CONNARD. » Tu exploses. Tu le repousses et te lèves brusquement pour te plaquer contre le mur ; pour être le plus loin possible de lui. Tu es fatiguée, épuisée, brisée. Tu ne sais plus quoi dire. D’habitude tu aurais réagi autrement. Bon Dieu tu n’es pas du tout une fille prude et inaccessible. Une putain ? Non tu ne l’es pas. Mais tu ne joues guère aux filles mystérieuses et vierges. Tu obtiens toujours ce que tu désires et tu suis tes pulsions ainsi que tes hormones, sans faute. Cette fois, c’est différent bordel de merde. Et rien que t’en rendre compte te met dans un état de folie. Tu éclates alors en évacuant tout sur Romano. Tu saisis l’offrande qu’il t’a proposé et t’en profites pour le blâmer pour l’état dans lequel tu te retrouves à chaque fois que tu le croises. Tu rejettes toute la faute sur lui. Tu n’en peux plus. « Mais qu’est-ce qui t’a pris, merde ? » Tu pousses un cri aigu. Telle une furie, tu t’approches de lui rapidement et commence à le frapper un peu partout. Sa taille est bien imposante par rapport à la tienne ; tu es bien trop maigre pour lui mais tu essaies quand même – de toutes tes forces – de lui faire du mal. « Tu n’as pas le droit de faire ça. » Pathétique. Aurais-tu oublié que tout était permis dans votre relation ma PItasse ? Que c'est toi qui as accepté de jouer à ce jeu extrêmement dangereux et blessant ? Il ne t’a pas embrassé. Oui, cette putain de voix t’a rendu dans cet état. Cette phrase n’a pas cessé de se répéter de plus en plus fort dans ta tête alors que tu sentais ses doigts te caresser la cuisse. Le simple fait de réaliser que tu t’es attachée bien trop à lui te rend dingue. Oui, tu viens de perdre encore une fois ma Pi. Tu as certes gagné une partie bidon de poker mais Romano a remporté une autre partie haut la main. Une partie de jeu bien plus importante. Le jeu de votre vie.
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Romano Do Vale

Romano Do Vale
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MessageSujet: Re: ∆ fuck me like you hate me.    ∆ fuck me like you hate me. EmptyJeu 20 Sep - 18:20



w/ PI-BRISÉÏS
La relation que tu entretiens avec Pi n'a rien d'ordinaire. Ce mot ne fait ni partie de votre vocabulaire, ni de votre quotidien. Depuis le début tout est ambigu, c'est vrai. C'est le jeu du plus fort : celui qui fera le plus mal. Un jeu tout aussi dangereux que celui du cap ou pas cap. Pi pourrait être quelqu'un d'autre pour toi. Une simple adversaire, une ennemie à part entière, une fille qui serait rester dans l'ombre, totalement inconnue. Elle est pourtant, bien plus que tout ça. Tu ne saurais pas l'expliquer mais d'une certaine façon, elle est importante pour toi, bien que cela te semble étrange. Et si elle n'était pas là, manquerait-il quelque chose dans ta vie ?

Pi semble perturbée. Elle ne se comporte pas comme d'habitude et tu l'as remarqué depuis qu'elle est rentrée dans ta chambre de motel miteuse. Cela t'a été confirmé quand elle t'a demandé ce qu'était cette cicatrice dans ton dos. Le ton de sa voix, malgré tous les efforts dont elle fait preuve pour faire semblant, la trahie de son inquiétude. Une question trotte dans ta tête : comment dois tu prendre sa réaction ? Mais à la fois aussi son comportement ? Tu restes perplexe, confus aussi mais préfère ne pas trop penser. Tu expliques sa façon d'être autrement : c'est un mauvais jour pour Pi, la terre ne tourne pas aussi bien que d'habitude. Il n'y a pas d'autre explication rationnelle. C'est certain.

Tu l'as toujours plus ou moins provoquée . Le seul chose qui change et qui te choque même, c'est la proximité dont tu fais preuve. Pi tâche de cacher le malaise qui la prend mais si elle veut se mentir, pour ta part, ces signes ne t'échappent pas. Inconsciemment, tu gardes en mémoire ces détails qui dans un avenir peut être proche te rappellera l'évidence de votre relation. Les gens autour de vous on toujours pensé que ce n'est pas le hasard qui a fait que vous êtes ainsi, vis à vis de l'autre. Que malgré le fait que vous prenez soin de vous haïr, au fond, vous, vous appréciez. Vous n'être pas prêt à faire face à la réalité, tout simplement. Elle, la belle et toi, le clochard d'un certain point de vue. Elle est la Rose, tu es Jack Dawson.

La voir limite trembler à cause de ton approche te faire sourire intérieurement. Tu aimerais aller plus loin, histoire de tester un peu plus ses limites. Bien que tu sais également aussi que c'est toi que tu provoques. Le proverbe dit que la meilleure façon de résister à la tentation c'est d'y céder. Mais cette conclusion te semble trop facile. Tu veux te battre, comme pour te prouver le contraire de ce qui en réalité, te sautes aux yeux. Dans l'histoire, tu tiens aussi bien, le rôle de l'idiot que celui qui n'assume pas. Tu as toujours eu plus ou moins peur de la tournure que pourrait prendre votre relation et ce soir, tout te semble, marcher à la vitesse supérieure. Comme une torture, le temps semble aussi se figer sur des moments intenses pour te prouver que tu es raide de Pi. C'est totalement dingue, tu ne veux pas y penser. Tu t'es toujours répété, sans cesse – que cela sera impossible.

A peine tes lèvres se déposent dans son cou, qu'elle se cambre légèrement. Ton ventre se serre quand tu sens son bassin frôler le tien. A la fois, car vos entrejambes s'entrechoquent et que tu te souviens être nu. Tu devines que la manière que tu as de faire, la perturbe. Tu souris doucement et ne la ménage pas pour autant. Tu frôles sa cuisse du bout des doigts, t'amuse même à la caresser avec les ongles. En toi, l'envie monte tout doucement. Tu restes sage, pourtant dans l'aisance de pouvoir faire de Pi, ce que tu veux à présent. Ton doigt dans l'élastique de sa petite culotte, tu patientes tandis que tes lèvres ont goûtés à la douceur de sa peau. Un parfum se dégage de son cou et de ses cheveux. Tu as même fermés les yeux un petit instant. Un moment s'écoule, silencieusement. Jusqu'à ce qu'elle se braque et te repousses. Ses seins nus, tu les revois quand elle se lève précipitamment pour venir se plaquer contre le mur, loin de toi. Elle t'insulte, le cœur ouvert. Elle t'en veux, te reproches ton geste. Tu fronces légèrement les sourcils puis détend ton visage. Tu ne trouves rien à dire alors tu te tais. Rien n'est plus précieux que le silence. Tandis qu'elle ouvre une nouvelle fois la bouche pour t'accuser, tu clignes des yeux – quittant du regard la courbe de son épaule. Tu viens chercher son regard mais te rends juste compte qu'elle prend soin de te taper sur le torse. Ses coups ne te font rien ressentir. Tu ne bouges pas, lui laissant toute la liberté de se vider de la colère qui l'habite.

Puis, loin de toi à présent, sans vraiment t'en rendre compte, tu commences à marcher vers elle. Ta nudité, tu l'as complètement oublié. Tu t'approches doucement mais sûrement, sans un mot. C'est sans doute ce qui a de plus inquiétant pour Pi, car elle ignore ce que tu comptes faire. Le sais-tu toi même ? Pas vraiment. Tu laisses en réalité, tes pas te guider. Tes gestes restent naturels même si au fond, tes agissements n'est pas le fruit du hasard.

« Pourquoi tu te mets dans un état pareil ? » Tu parles doucement, presque en chuchotant. Tu la regarde dans les yeux, tu t'amuses de son état. C'est mesquin, méchant mais tu ne peux t'en empêcher. Ton visage perdre toute malice pour ensuite, rester neutre. A quoi penses tu Romano ? [...]

« C'est qu'un jeu, paraît-il. » Sous entendus ? C'est à Pi d'en conclure. Tu te trouves proche d'elle une nouvelle fois. Tes mains en appui de chaque côté de sa tête, tu la regardes de haut tandis qu'elle demeure plaquée le dos contre le mur. Tu sens cette tension. Elle te brûle. Ton envie ne cesse de croître. Tu ne l'embrasseras pas, pourtant. Masochiste, tu veux te faire du mal à fixer ses lèvres que tu désires davantage maintenant que toute les autres fois où tu as put les regarder. Son corps, qui t'appelle – tu as envie de la sentir plus proche de toi. Son souffle, tu le sens, tu as envie de le mêler au tien. Sa poitrine, de baisers tu veux la couvrir, ses cheveux, de caresser, son cou de mordre et sa peau de presser entre tes mains. Tu ne craqueras pas, tu te contente d'abord de la vue qui t'es offerte. Tu te répète que Pi est bonne. Comme subjugué par le grain de beauté de son cou, tu aimes glisser ton regard sur son corps. Ses petits seins, ses hanches, ses jambes. Son corps tout entier te plaît. […] Ce n'est plus majoritairement son physique qui t'attires mais la douceur de ses traits et la profondeur de ses yeux clairs.

Tu as totalement perdu le nord et tu ne cherches même pas le moyen de retrouver le droit chemin. Ta tête tourne mais c'est un malaise agréable bien qu'inhabituel. Tu ignores le sens de tout ceci mais c'est pour l'instant, le cadet de tes soucis. Le battement de ton cœur résonne dans ta tête comme un tambour et tu n'y penses même plus. Tu t'humectes les lèvres puis sourit en coin avant de donner à ton visage, cet air sérieux qui te permets à la fois de cacher tes ressentis et à la fois de gérer la situation, dominer à ta guise : ce qu'elle déteste le plus au monde.
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